Chaque année, de nombreux touristes parcourent la terre à la recherche de sensations fortes, de découverte et d'émotion. Ils sont prêts à sauter sur la première occasion qui leur permet de s'évader et leur assure la sécurité nécessaire. Ils sont des centaines de millions et constituent un fort pouvoir d’achat. Comment cela est-il possible donc ? Nous vous donnons plus de précisions dans cet article.
Le tourisme comme arme économique concurrentielle
Le tourisme constitue une activité économique qui permet aux pays en voie de développement d’avoir des revenus importants. Les touristes trouvent en ces voyages l'occasion de découvrir de nouvelles terres, de prendre des photos, en garder des souvenirs, faire de nouvelles rencontres, connaître de nouvelles cultures et goûter de nouveaux repas d'ailleurs.
L'émergence économique de certains pays entraine avec elle le tourisme pour les classes moyennes et selon les espaces dans le monde, selon le niveau de développement économique, selon le rapport de l'extériorité à l'étranger, il y a des tendances qui peuvent être différentes.
Pour les pays récepteurs de touristes, l'activité touristique devient une manière de conserver des parts de marchés, d'attirer les devises étrangères, et tout ceci passe par la diffusion de photos et des recommandations sur les différents réseaux sociaux, la réalisation des films (les films à succès) et tout un marketing du territoire qu'il faut vendre à l'extérieur.
Conséquences directes du tourisme sur l'économie
Le tourisme a des conséquences économiques sur les différents pays. Il apporte d’abord un certain revenu aux gouvernements des pays ciblés, mais il participe également au développement de certaines industries, notamment dans le secteur de la restauration et de l'hôtellerie. De grandes organisations comme l'UNESCO et la Banque mondiale, transforme le tourisme en un mouvement de transfert de finances et de capital. Ils en font un « passeport pour le développement ». La perspective alors priorisée est celle du développementalisme, notamment chez les économistes et les gestionnaires, qui conçoivent alors le tourisme comme une industrie dont il faut tirer profit.